jeudi 15 juillet 2010

Séjour à l’hôpital Général de Douala Mai 2010

Le séjour à l hôpital a consisté à rencontrer un neurologue. Le diagnostique aurait voulu que je sois opérer pour améliorer mes problèmes d’incontinences. Hélas il y avait encore des points d’ombres en ce qui concernait cette amélioration de ma situation urinaire et sphincter après l’opération.

J’ai préféré repousser l’opération à une date inconnue.

Prions toujours que la grâce de DIEU ME DONNE LES FORCES.




ARIANE ROSINE ma soeur cadette et moi devant l'hopital





Devant le neurologue avec Romuald mon frère





Romuald, Ariane et moi




-/-/-/-/-/- Venus me soutenir -/-/-/-/-/-



Merry et frère Mohamet





Nina Carine Claire venu de Yaoundé me soutenir

( Nous prions ensemble les 15 oraisons de Sainte Brigitte avec d’autres amis dans le monde)

Chance ou malchance

Chance ou malchance

Beaucoup de personnes qui m’ont accosté m’ont dit ne rien comprendre à ce qui m’arrive. Certains m’ont dit que j’étais victime de malédiction ou d’une grande malchance. Je ne veux pas en faire un grand discours, je voudrais qu’ensemble nous partagions cette petite anecdote chinoise.


Les chinois racontent l’histoire d’un vieux fermier qui possédait un vieux cheval avec lequel il labourait ses champs. Un jour, le cheval s’enfuit vers les collines. Au voisin qui le prenait en sympathie, le vieillard répondit : « chance ? Malchance ? Qui sait ? » Une semaine plus tard, le cheval revint des collines avec un troupeau de chevaux sauvages, et cette fois les voisins félicitaient le vieillard de sa bonne chance. Il répondit encore : « Bonne chance ? Malchance ? Qui sait ? » Puis, lorsque son fils en voulant dompter l’un des chevaux sauvages, il fit une chute et se brisât la jambe, tout le monde crut que c’était une grande malchance. Le fermier, lui, se contenta de dire : « malchance ? Bonne chance ? Qui sait ? » Quelques semaines plus tard, l’armée entra dans le village et mobilisa tous les jeunes gens valides. Quand ils aperçurent le fils du vieillard avec sa jambe cassée, ils le dispensèrent du service. Etait-ce de la chance ? De la malchance ? Qui sait ?
















Tout ce qui, à première vue, semble être un mal peut, en effet, être un bien déguisé. Et tout ce qui, à première vue, semble un bien peut, en réalité être un mal. Il est donc sage de laisser Dieu décider de notre bonne chance comme de notre malchance, et de le remercier de faire tourner toute chose au bien de ceux qui l’aiment. »


Extrait de mon autobiographie/ : livre en préparation