jeudi 8 avril 2010

Vivre au quotidien mon état


Comment je vis avec ma maladie

Vivre dans un état de paraplégique n'est pas facile. Tout le monde à été prit de court; surtout que c’était un accident.

Messages aux jeunes de la pâques 2010

A tous mes ami(e)s jeunes du Cameroun et du monde ce message je vous le dédie, j’ai rassemblé des paroles de Raoul Follereau, sainte Thérèse, le pape jean Paul II et bien d’autres grands de ce monde qui n’ont marqués pour en faire un texte pour vous. LISEZ LE ET FAITE LIRE

Cher(e)s jeunes,

Vive c’est lutter nous disait Victor Hugo et il y’a dans le cœur de chaque homme des trésors prodigieux, à vous de les faire surgir. Le plus grand malheur qui puisse vous arriver c’est de n’être utile à personne, c’est que votre vie ne serve à rien.

Soyez fier et exigeants, conscients du devoir que vous avez de bâtir du bonheur pour vous et pour tous les hommes. Luttez sans cesse. Et sans s’occuper du reste. Faire ce qu’on peut, c’est trop peu, il faut faire d’avantage, il faut faire beaucoup plus, surtout quand t’on peut le faire. Tout amour semé, tôt ou tard, fleurira. Dans monde devenu hyper matérialiste, dans un monde de gaspillage, dans monde ou l ‘environnent est sacrifié sur l’autel du gain, où les inégalités Nord /Sud sont énormes, où seul les cantiques des riches résonnent dans le vent, nous jeunes devons l’espoir et l’espérance d’un monde nouveau.

Si vous avez le désir de manger ne dite pas « j’ai faim !» Mais pensez aux 400 millions de jeunes filles et jeunes garçons qui ne mangeront pas aujourd’hui car la moitié de la jeunesse du monde à faim

Si vous avez un rhume ne dite pas « mon Dieu, que je suis malade ! » Mais pensez à tous ceux qui souffrent, aux 800 millions d’être humains qui n’ont jamais vu un médecin.

Je vous demande pas de la pitié ou des pleurs, c’est trop rapide et trop facile, mais je vous demande de prendre conscience, conscience que votre vie est un don, conscience que vous avez une chance, conscience que vous devez honorer vos parents, conscience que vous devez vivre pleinement votre vie en mettant en valeur tout le potentiel qui est autours de vous et de ne plus accepter : Ne plus acceptez cette forme d’existence qui est perpétuelle démission de l’homme, ne plus accepter être heureux seul.

Soyez la nouvel graine du monde, ne mondialisez pas seulement les bêtises et les erreurs de notre civilisation ; mondialisez l ‘amour, soyez prêts à mourir pour la fraternité. Soyez des citoyens du monde, faites du monde un vrai village planétaire où chacun apporte sa différence, où chacun accueil la différence de l’autre, où personne ne renie ses origines, sa couleur, son niveau social et intellectuel. Et puis qu’importe ! L’essentiel n’est pas ce qu’on est, mais ce qu’on offre, même si vos mains sont vides ou sales, tendez-les. Ce que nous savons de plus certain ici-bas, c’est que les autres ont besoin de nous.

Notre jeunesse doit être création, élévation et joie, nous ne réformerons le monde qu’en enrichissant notre cœur. Le secret de cette force se trouve dans l’amour, non pas un amour bêlant mais qui pleurniche sur son malheur ou celui des autres, mais un amour combat, un amour révolte contre l’injustice sociale, l’asservissement des pauvres.

Le saviez-vous ? Un porte-avions atomique représente la valeur de trois millions de tonnes de blé, qu’avec le prix d’une fusée, on pourrait distribuer aux pauvres cent mille tonnes de sucres, que l’argent levé par les Etats pour sauver leurs banques représente mille fois ce dont ont besoin les plus faibles de ce monde. Refusez de mettre votre vie au garage, dénoncez pour exalter ; contestez, mais pour construire. Soyons, chacun une parcelle d’amour, une étincelle d’amour, soyons un évangile ouvert où chacun puisse lire Dieu. Bâtissons le bonheur des autres, demain aura notre visage. , il manque dans le monde trois millions de médecins : devenons des médecins, plus d’un milliard d’être humains ne savent pas lire, ni écrire : devenons des enseignants. Deux hommes sur trois ne mangent pas à leur faim : devenons des semeurs, faisons surgir des récoltes qui les rassasieront. Nos frères ont besoin de nous, devenons quelqu’un pour faire quelque chose. Qui n’a rien ne peut rien donner.

Cependant, méfiez vous des systèmes et détournez vous des sectes. Dieu doit être au centre de votre vie. N’ayez surtout pas peur des obstacles et épreuves, rien ne doit nous décourager sur les chemins la vie. Priez et prions, disposons notre cœur à accueillir l’imprévue.

Bien de choses Et amitié

Patrick Talom

Raoul FOLLEREAU

SUR LA CHARITÉ ET LE BONHEUR

1. Vivre c’est aider les autres à vivre.

2. Il faut créer d’autres bonheurs pour être heureux.

3. Il ne manque qu’une chose à mon bonheur, c ‘est de le voir, à toute la terre, étendu.

4. Donner sans aimer est une offense.

5. Personne n’a le droit d’être heureux tout seul.

6. Savoir sans savoir aimer, ce n’est rien. Et parfois pire que rien.

7. Il faut avoir fait beaucoup pour comprendre qu’on n’a pas fait assez.

8. Le bonheur c’est de pouvoir vivre dans son âme si haut que les misères humaines ne vous puissent atteindre.

9. Le sage est celui sui sait prendre parti, sans parti pris.

SUR DIEU

1. Je ne connais pas Dieu, mais je suis sûr que je suis connu de lui : et c’est cela qui est l’espérance.

2. Bienheureux celui qui vit en Dieu ; béni celui qui meurt en le cherchant.

3. Qui peut dire si ce qui nous manque n’est pas pire que ce que nous avons ? « Seigneur, ne cessez pas de nous aimer ».

SUR LA MISÈRE

1. Quatre cents millions d’enfants ont faim dans le monde.

2. Pourquoi pas le vôtre ?

3. Pourquoi le vôtre est –il nourri, abrité, protégé ?

4. Pourquoi le vôtre, et pas les autres ?

5. Madame, y avez –vous jamais songé

6. Comment voulez-vous qu’il soit heureux ? il n’aime que lui.

7. Lorsqu’on a tout, on ne fait pas de projets : on n’a que des caprices.

8. Avant de songer à promener des gens sur la lune, il serait peut-être opportun de les empêcher de mourir de misère et de faim sur la terre.